Solopreneur : les 4 piliers d'une activité rentable

Solopreneur : les 4 piliers d'une activité rentable

Contenu rédigé à 100% par un vrai humain, et non une IA ✍️

Leçons, apprentissages et conseils pour construire votre business de solopreneur à 6 chiffres annuels.

10 min. de lecture
Valentin Decker
June 10, 2024
10 min. de lecture
Création

Je m’appelle Valentin Decker et en 2023, lors de ma quatrième année d’activité en tant que solopreneur, j’ai généré un chiffre d’affaires annuel supérieur à 100 000€.

C’est une belle réussite et j’en suis fier. Cette activité me permet de vivre ma vie comme je l’entends : elle m’offre la liberté de choisir comment je gère mon temps et les projets sur lesquels je travaille. 

Mon activité croît chaque année et j’ai de belles perspectives d’évolution. Sur l’année 2024, mon chiffre d’affaires s’établit autour des 150 000€ annuels.

Mais cela n’a pas toujours été simple. Comme je le disais, cela m’a pris quatre années pour atteindre la barre symbolique des 6 chiffres de CA au bout de quatre ans.

Ce furent quatre années de travail, d’expérimentation, de tests, de tâtonnements, de mini-victoires et de gros échecs. 

Dans cet article, je vais vous partager tout ce que j’ai appris sur le sujet du solopreneuriat et vous expliquer comment, à votre tour, créer une activité de solopreneur rentable, en ligne. 

Qu’est-ce qu’un solopreneur ?

Définition et présentation du concept

Commençons par bien définir de quoi on parle. 

Le solopreneur est un type d’entrepreneur qui développe son activité seul et qui priorise l’autonomie et la liberté. 

“Solopreneur” est un mot valise qui peut faire référence à des situations et des types de business très différents. Pour cet article, je vais me concentrer sur les activités en ligne.

Généralement, le solopreneur travaille depuis chez soi, depuis un coworking ou un café à l’autre bout du monde. Il organise son calendrier comme il l’entend et valorise la flexibilité.

Le solopreneuriat présente des avantages certains, mais la médaille vient également avec son revers.

Qui dit liberté dit responsabilité, charge de travail élevée et pression supplémentaire. Le solopreneur est littéralement seul : son activité repose entièrement sur ses épaules. 

(C’est, évidemment, valable pour l’entrepreneuriat en général.)

Les types d’activités possibles en tant que solopreneur

Il n’existe aucun “modèle type” de solopreneur.

Si vous interrogez 10 solopreneurs, vous verrez qu’ils auront 10 activités différentes. Avec chacun leur particularité et leur spécificité. 

Cela dit, ils vont avoir pour point commun de vendre des produits ou services en ligne, que l’on appelle souvent “infoproduits”. Ce sont des produits d’informations autour d’un domaine, d’une thématique.

Cela peut être : 

  • Des produits digitaux : formations en ligne, ebooks, fichiers, templates, etc. 
  • Des services de coaching ou de consulting
  • De la publicité ou du sponsoring
  • Des services de freelance (j’y reviens dans un instant)
  • Ou carrément des produits physiques vendus en e-commerce.

Le solopreneur peut avoir une cible B2B ou B2C ; les deux sont possibles. Même si j’ai tendance à dire que les solopreneurs ont plutôt une activité B2C.

Généralement, les solopreneurs vendent différents types de produits en même temps. 

Cela leur permet de se créer un portefeuille diversifié, d’avoir davantage de sources de revenus (plus de stabilité) et de tester de nouveaux produits. 

C’était mon cas pendant longtemps (et c’est toujours le cas, dans une moindre mesure).

  • Je propose des programmes de formation pour freelance en écriture et créateur de contenu sur LinkedIn ; 
  • Je vends mes propres livres que j’ai auto-édités ; 
  • Je propose des actions de sponsoring ;
  • Je réalise du consulting sur demande (pour entreprise ou particulier) ;
  • Pendant deux ans, j’ai proposé des missions en tant que Copywriter et rédacteur freelance.

Le cœur de mon activité se réalise en B2C, avec des opérations ponctuelles en B2B.

Solopreneur, entrepreneur et freelance : les différences

À ce stade, vous vous demandez peut-être quelle est la différence entre le solopreneur, l’entrepreneur et le freelance ?

Il est vrai que la frontière est floue et que les concepts sont très proches.

Selon moi, le solopreneur et le freelance sont des sous-catégories d’entrepreneuriat. Avec chacun leurs petites spécificités.

L’entrepreneur : 

  • Aspire à créer quelque chose qui le dépasse
  • Priorise le développement de l’activité et souhaite constituer une équipe pour pouvoir sortir de l’opérationnel

Le solopreneur : 

  • Aspire à développer son activité seul
  • Priorise la liberté, la flexibilité et l’autonomie
  • Crée et pense ses produits de zéro

Le freelance : 

  • Possède une activité centré sur la prestation de services (surtout en B2B)
  • Travaille dans le cadre de missions ponctuelles
  • Est lui-même son propre produit

Si vous voulez creuser, j’ai rédigé un article complet sur les différences entre solopreneur et freelance. 

Solopreneur entrepreneur freelance

Quel statut juridique ? 

Au niveau juridique, en France, c’est assez simple.

Généralement, le solopreneur va exercer son activité sous le régime de la Microentreprise jusqu’au plafond de chiffre d’affaires (75 000€ annuel). C’est le statut le plus intéressant pour se rémunérer en minimisant ses charges sociales. 

Ensuite, s’il souhaite continuer à se développer, il va opter pour une EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) ou une SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle).

Personnellement, j’ai une EURL. 

Pour faire simple : 

  • L’EURL est plus avantageuse si vous souhaitez vous verser un salaire mensuel ;
  • La SASU est plus avantageuse si vous souhaitez vous verser un montant annuel de dividendes.

Rentrons désormais dans le coeur du sujet : les 4 piliers pour une activité rentable de solopreneur.

Pilier n°1 du solopreneur : identifier sa niche

Le premier point, comme n’importe quelle activité entrepreneuriale, porte sur le choix d’une niche. Une thématique sur laquelle vous allez vous positionner, communiquer et créer vos produits. 

À terme, vous allez incarner votre propre niche. Les gens vont vous suivre pour qui vous êtes. Mais cela prend du temps d’arriver à ce stade.

Au départ, mieux vaut choisir un périmètre bien défini sur lequel vous allez vous positionner.

Je sais que c’est contre-intuitif et contre-nature, mais plus vous êtes niché, mieux c’est.

Pour plusieurs raisons simples : 

  • Vous pouvez concentrer vos efforts dans UN seul domaine
  • Vous attirez les personnes qui cherchent précisément ce que vous proposez
  • Vous vous différenciez de tous les autres qui proposent un service similaire à vous. 

Prenons un exemple.

Imaginons que votre sujet est la productivité. 

Vous pouvez choisir de parler de productivité au sens large. C’est déjà pas mal, mais c’est assez large et flou.

Ou vous pouvez aller plus loin et choisir de parler de productivité, spécifiquement pour les développeurs. Ou les agents immobiliers.

Votre marché est plus restreint, mais (1) vous devenez infiniment plus pertinents pour ces personnes et (2) vous avez infiniment moins de concurrence. 

Mieux vaut apporter une super solution à un petit groupe de personnes, qu’une solution moyenne à un grand groupe. 

La question qui vient désormais est : comment choisir votre positionnement, votre niche ?

Mon conseil est de vous appuyer sur vos forces, vos compétences, vos expériences passées et vos intérêts.

Choisissez un domaine qui vous inspire profondément et sur lequel vous vous sentez prêt à passer du temps. 

N’essayez pas de vous inventer une vie et, idéalement, essayez de ne pas partir de zéro. 

Si vous n’avez aucune expérience ou compétence (j’en doute !) essayez de partir d’un intérêt que vous avez (ou d’une passion). 

Le premier pré-requis pour réussir dans l’entrepreneuriat est le temps à investir. Et c’est beaucoup plus facile d’investir son temps dans un domaine qui vous intéresse réellement. 

N’hésitez pas à tester plusieurs niches / positionnements.

Si vous êtes intéressé par deux ou trois domaines et ne savez pas comment choisir, laissez-vous le temps de tous les explorer. Commencez à vous mettre en mouvement (en créant du contenu par exemple), faites un bout de chemin et discutez avec des gens de cet univers. Vous allez voir que vous allez apprendre énormément de choses : l’action informe la stratégie. 

Dans mon cas personnel, j’ai choisi la niche de l’écriture et de la création de contenu. J’ai fait le choix de positionner ma marque personnelle et de construire mes produits dans cet univers.

Au début, j’étais centré sur l’écriture d’articles de blog long format. C’était ma patte et mon élément différenciant. Je me sentais légitime, pertinent sur ce domaine et j’avais accumulé pas mal d’expérience (je publiais déjà des articles depuis 3 ans et j’ai eu un CDI en tant que Copywriter).

Ensuite, je me suis petit à petit développé. J’ai étendu mon horizon pour ne plus uniquement me limiter aux longs articles. Je traite aussi d’autres formats comme LinkedIn ou la newsletter. J’ai également décidé de traiter les compétences business dans mes programmes et mes contenus.

Pilier n°2 du solopreneur : développer son média

Venons ensuite à la partie la plus importante selon moi : votre visibilité. 

Tout ce que vous allez construire en tant que solopreneur va dépendre de votre capacité à toucher les bonnes personnes et leur donner envie de s’intéresser à ce que vous faites. 

C’est le nerf de la guerre. Vous avez beau avoir un produit super, si personne ne vous connaît… vous n’irez nulle part. 

Pendant les premières années, une bonne partie de votre énergie doit être consacrée à ce travail pour obtenir de la visibilité. Cela doit être tout en haut de votre liste de priorités. 

Pour cela, l’une des méthodes les plus puissantes repose sur la création de votre propre contenu et média.

(L’autre grande option consiste à faire de la publicité payante… mais si vous démarrez vous n’avez pas forcément le budget pour.)

Créer son propre média prend du temps, mais c’est le meilleur moyen de : 

  • vous faire connaître par de nouvelles personnes. 
  • vous positionner comme un acteur important de votre thématique.
  • construire un canal marketing qui vous permet d’être résilient et indépendant. 
  • fidéliser votre audience.

Selon moi, il y a deux grandes questions à se poser lorsque l’on veut créer son média.

  1. Comment est-ce que j’attire du trafic ? 

Le premier enjeu est celui de la visibilité pure. Comment est-ce que les gens vont vous connaître et vous découvrir.

Ici, vous avez deux grands leviers.

D’abord, le contenu au format court. 

Vous allez profiter des algorithmes des réseaux sociaux qui peuvent montrer votre contenu à des personnes qui ne vous connaissent pas.

Vous pouvez publier des contenus textes sur LinkedIn ou Twitter.

Ou, si vous êtes à l’aise, vous pouvez opter pour la vidéo sur Instagram ou Tik Tok.

Pieter Levels, le solopreneur le plus connu au monde s’est bâti une très forte audience sur Twitter (X), qui lui permet de faire connaître ses produits.

Twitter Canal marketing solopreneur

Personnellement, j’ai choisi LinkedIn. C’est une super plateforme pour toucher sa cible : je publie un nouveau post tous les jours et j’y ai accumulé près de 15 000 followers.

LinkedIn Canal marketing solopreneur

Le second levier est celui du SEO.

L’objectif est de créer du contenu pour se positionner en face de requêtes que tapent les gens sur leur moteur de recherche. C’est très puissant car les gens savent ce qu’ils veulent ; il est possible de capter leur intention de recherche. 

Vous pouvez déployer cette stratégie sur Google avec du format texte, ou sur Youtube avec des vidéos. C’est exactement le même mécanisme. 

SEO canal marketing solopreneur
Ma progression en SEO depuis Juin 2022
  1. Comment je crée un lien de confiance avec mon audience ?

Ce n’est pas tout d’attirer du trafic, encore faut-il qu’il soit qualifié et que les personnes qui vous découvrent aient réellement envie d’acheter ce que vous vendez.

Pour cela, vous avez besoin d’un format de contenu plus long. Qui vous permet de rentrer dans le détail de votre approche et de construire votre crédibilité.

Les formats possibles sont les suivants : 

Personnellement, j’ai choisi deux formats : l’article de blog et la newsletter. 

Une fois que vous avez choisi vos canaux (en fonction de votre cible ET de vos affinités personnelles), il est temps de se mettre au travail.

Vous avez besoin d’être régulier, d’être consistant et de comprendre les codes des plateformes que vous avez choisies. 

Point important : ne sous-estimez pas la taille de l’audience dont vous avez besoin pour réussir en tant que solopreneur.

Si vous souhaitez construire une activité durable et rentable sur la durée, vous avez besoin d’attirer un nombre important de personnes. 

À titre personnel : 

  • Mon contenu LinkedIn génère entre 100 000 et 200 000 impressions par mois ;
  • Mon site attire environ 5 000 visiteurs par mois (dont 3 000 depuis le SEO) ;
  • Ma liste email compte 6 000 abonnés.

Je dédie environ deux heures par jour à mon contenu depuis 5 ans. 

Et tout cela me permet de générer un chiffre d’affaires compris entre 10 000€ et 15 000€ chaque mois.

C’est un vrai gros travail. 

Si vous souhaitez aller plus loin sur ce pilier, je vous redirige vers mon cours par email gratuit sur l’écriture d’articles de blog. Suivez moi également sur LinkedIn, je partage chaque jour des conseils.

Pilier n°3 du solopreneur : construire son produit

Venons-en désormais aux produits ou services que vous allez proposer.

Comme je le disais précédemment, le champ des possibles est ouvert et vous pouvez être très créatif dans le type de produits que vous vendez.

Accompagnement en ligne ou en présentiel. Individuel ou collectif. Synchrone ou asynchrone. Bootcamp intensif ou format enregistré. Mini-produit ou gros accompagnement. Prix élevé ou très accessible, etc.

Absolument tout est possible. 

Personnellement, j’ai testé beaucoup de choses : j’ai fait des formations 100% enregistrées, des gros bootcamp de 12 semaines, des week-ends d’écriture, des ateliers d’une après-midi en présentiel, des programmes en ligne hybrides mêlant cours collectif et suivi en live, etc. 

En réalité, le format et les modalités de vos produits sont secondaires. 

Ce qui compte réellement, c’est votre capacité à identifier un problème que rencontre votre cible et à créer un produit pour l’aider à le résoudre. C’est votre capacité à créer un produit qui va améliorer la vie des gens que vous ciblez.

C’est aussi simple que cela. 

Pour y parvenir, il n’y a pas de secret : 

  • Vous avez besoin de très bien connaître votre persona cible et ses problématiques. Et pour cela, vous devez lui parler régulièrement ;
  • Vous avez besoin de faire des tests de produits pour voir comment les gens réagissent (en essayant réellement de les vendre !) ;
  • Vous pouvez aussi observer ce que font les autres sur votre marché pour vous inspirer.

Bref, vous avez besoin de vous retrousser les manches pour mettre les mains dans le camboui.

Cela va prendre du temps et vos premiers produits ne seront pas forcément les bons. Mais c’est 100% normal. Il y a toujours une phase de tâtonnements et d’expérimentation. Vous ne pouvez pas faire autrement.

Le plus important est de toujours se placer dans une logique d’apprentissage, avec l’envie de progresser et de tirer des leçons. 

Je vous donne un petit conseil sur vos produits : n’hésitez pas à en faire trop. Au début, n’hésitez surtout pas à donner trop de choses dans vos programmes. 

Votre priorité doit être de ravir les clients qui vous font confiance. Faites-en sorte que leur expérience avec votre produit leur donne envie d’en parler et de vous recommander.

Cela va créer de la preuve sociale et c’est comme cela que vous allez, petit à petit, attirer de plus en plus de monde. 

Votre enjeu est de parvenir à trouver la bonne combinaison de produits qui vous permet : 

  • D’avoir des revenus suffisamment élevés, avec un potentiel de croissance ; 
  • De créer un système marketing qui va vous permettre d’avoir des moments de vente réguliers (tous les mois !) ; 
  • Tout en assurant une qualité maximale de vos produits.

Personnellement, cela m’a pris plusieurs années pour y parvenir et je continue à toujours tester de nouvelles manières de faire. 

Pilier n°4 du solopreneur : affûter ses compétences business

Abordons enfin le dernier pilier d’une activité rentable de solopreneur : l’éventail des compétences business à développer pour réussir. 

Eh oui, ce n’est pas fini.

Être solopreneur, c’est endosser toutes les casquettes du développement et de la gestion d’une entreprise en même temps.

Voici les éléments les plus importants qui me viennent en tête : 

  • Gestion de votre temps et organisation personnelle.

Vous avez besoin d’être productif, d’identifier les chantiers les plus importants et d’organiser votre agenda pour jongler entre toutes vos priorités. 

  • Comptabilité et gestion financière.

Rien de bien méchant ici, jusqu’à 100 000€ de CA annuel, vous pouvez facilement faire les choses à la main. Mais vous avez besoin d’être rigoureux et organisé dans le suivi de vos finances. 

  • Compétences en marketing.

Ce point complète le pilier sur la création de contenu. Vous avez besoin de devenir un couteau suisse marketing et être capable de bidouiller pas mal de choses par vous mêmes. 

Je pense à la création de site / landing page, à la mise en place de séquences email automatisées, à la compréhension de la publicité en ligne, au branding / design.

  • Compétences de vente.

Vous avez également besoin de compétences de vente : copywriting, création de tunnels de vente, négociation, capacité à mener un appel de vente, construction d’une bonne offre, définition du bon prix, etc.

  • Apprendre à déléguer.

Même si vous êtes solopreneur, vous allez rapidement être limité par ce que vous pouvez faire seul. 

Si vous souhaitez dépasser votre plafond de chiffre d’affaires et continuer à grandir, vous allez devoir vous entourer d’une équipe de freelances.

À minima, je vous recommande d’avoir un super assistant qui va pouvoir vous aider dans vos tâches administratives. Ensuite, vous allez chercher des compétences spécifiques : freelance en Ads, freelance graphiste, etc. 

J’ai personnellement une équipe de 4 personnes qui m’entoure (sur des missions récurrentes, à quelques jours de travail chaque mois).

  • Développement personnel.

Ma citation préférée est la suivante : “Il n’existe aucun problème de business, il y a uniquement des problèmes d’entrepreneur et d’état d’esprit.”

Toutes les actions et stratégies que vous allez mettre en place pour développer votre business ne sont qu’un reflet de votre développement personnel en tant qu’entrepreneur. Et, de la même manière, tous les blocages que va rencontrer votre business ne sont que la conséquence de vos blocages à titre personnel. 

Pour moi, ce sujet est tellement important que j’en ai écrit un livre appelé Courage, Illusions et Sagesse.

Je vois deux sujets ici vous touchent beaucoup de débutants : 

- Les montagnes russes émotionnelles inhérentes à l’entrepreneuriat

- Le maintien de la discipline sur le long terme quand la motivation initiale s'essouffle.

Enfin, quand vous êtes solopreneur, votre activité repose littéralement sur vos épaules. Vous avez besoin constamment de vous former pour rester à jour et vous entourer des bonnes personnes afin de vous tirer vers le haut. 

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